Si vous mangez à la moindre contrariété, dès que vous vous sentez stressé, que vous vous ennuyez, ou que vous êtes fatigué .

Si votre soupape est de vous diriger vers le placard ou le frigo pour vous « remplir » sans avoir faim.

C’est ce qu’on appelle « manger ses émotions » et souvent la problématique est ailleurs.

Les kilos émotionnels sont des kilos, souvent acquis, parfois perdus, à cause de raisons émotionnelles récentes, ou pouvant parfois remontées jusqu’à l’enfance et aux habitudes prises avec nos parents.

En effet, les émotions nous poussent souvent à manger davantage, car la nourriture devient alors « un doudou » qui nous réconforte.

Ces émotions agissent également sur les différents neurotransmetteurs de notre cerveau, qui se dérèglent et perturbent le bon fonctionnement de notre système nerveux.

Cela crée un stress supplémentaire et nous n’avons alors plus un bon contrôle de notre alimentation.

Aujourd’hui malgré le mouvement « body positive », la tolérance vis-à-vis du surpoids est toujours très faible.

Cette pression de la société « du corps parfait », renforce cette culpabilité qui crée encore plus d’émotions négatives et nous pousse à manger encore plus.

C’est un véritable cercle vicieux qui s’installe.

Alors ne culpabilisez plus lorsque vous avez envie de vous jeter sur une tablette de chocolat après avoir passé une mauvaise journée au travail.

Détendez-vous et posez-vous ces 3 questions ?

  • Est-ce que j’ai vraiment faim (symptômes physiques) ou est ce qu’il s’agit juste d’une envie ?
  • Quel est mon d’état d’esprit à ce moment précis ? (stress, contrariété, douleur…)
  • Comment je peux détourner mon attention afin de ne pas me jeter sur ce paquet de gâteaux ?

Sur ce dernier point, des outils pratiques de respiration, de relaxation et de gestion des émotions peuvent vous aider à trouver des alternatives à l’envie de vous diriger systématiquement vers votre frigo.

Il faut faire de votre cerveau votre allié.

Et surtout prenez du temps pour vous, et soyez bienveillant avec votre corps, vous lui devez tellement.